Cette série aborde la question de la sexualité de façon explicite et parfois crûe, elle n’est pas destinée à toutes les oreilles, les plus sensibles peuvent donc s’abstenir
Pour de nombreuses femmes, s’extraire du grand jeu de la baisabilité permettrait de se libérer d’un poids, celui d’être « la bonne meuf » pour reprendre la formule de Virginie Despentes.
Le 11 septembre dernier, Lio révélait au micro d’Augustin Trapenard ne plus « baiser » depuis huit ans. Plus étonnant encore, celle-ci admettait que toute sa vie son désir avait été soumis à celui des hommes. Par cette simple affirmation, Lio a mis le doigt sur un des grands tabous de notre société moderne : l’absence heureuse, voire libératrice, de sexe.
Le problème ? Arrêter le sexe est souvent perçu comme une forme d’anomalie sociale.
Une série d’Ovidie et Tancrède Ramonet, réalisée par Séverine Cassar
Épisode-2: L’absence de sexualité, une anomalie sociale (55′)