LNDT: @55. Épisode 5/5 : Carte blanche cinéma : duo féérique

Dernier épisode du merveilleux podcast de Radio France autour du couple.

Avec

Avec Agathe Bonitzer et Niels Schneider, respectivement fée et prince dans le film Belle dormant d’Ado Arietta (en salles le 18 janvier 2017)

En plusieurs extraits de film, ils déclinent les figures de couples enchantées, désenchantées ou déconstruits au cinéma. Un podcast de Radio France de 60′.

LNDT: @53. Épisode 3/5 : Reconquête numérique

Aujourd’hui, le couple et ses turbulences sont scénarisés dans une websérie. Dans les dix épisodes de “Il revient quand Bertrand ?”, Bertrand, jeune homme de 25 ans, tente de reconquérir Magalou. Un véritable combat numérique, à coups de webcams, statuts improbables et messageries instantanées.

Avec

  • Bertrand Usclat comédien
  • Guillaume Cremonese réalisateur
  • Julien Sibony scénariste

Avec Guillaume Cremonese, réalisateur, Bertrand Usclat, comédien, Julien Sibony, scénariste. Ils nous parlent de Il revient quand Bertrand ? (Arte Creative). Quand les nouvelles technologies s’immiscent dans le couple…Une émission de Radio France de 53′.

LNDT: @51. Épisode 1/5 : Nouvelles alliances

Les Nouvelles Vagues ont pour chantier le couple, toute cette semaine. Nous l’ouvrons avec une sociologue, pour discuter des nouveaux modèles de couples, des réponses sociales et juridiques à cette évolution des mœurs… Pourquoi vit-on encore en duo ?

Avec en duplex de Lyon, Marie Carmen Garcia, sociologue et professeure à l’université Paul Sabatier à Toulouse. Une partie de ses travaux actuels s’inscrit dans le champ de la sociologie de la sexualité et du couple. Elle est l’auteur notamment de Amours clandestines. Sociologie de l’extraconjugalité durable (PUL, 2016). Nouveaux contrats, (in)égalités dans l’émancipation les relations extraconjugales : comment ces formes reproduisent plus ou moins les schémas archaïques du couple institutionnel, et qu’est-ce que cela nous dit de l’endurance de ce modèle ? Un podcast de Radio France de 50′.

LNDT: @47. Marie Kock pour son livre “Vieille fille” : “Le fait de ne pas chercher l’amour est encore un peu mal vu”.

Marie Kock est journaliste et essayiste. Elle vient de publier “Vieille fille. Une proposition” paru aux éditions La Découverte. Un livre qui mêle récit, études sociologiques et références à la pop culture

Dans son essai “Vielle Fille. Une proposition” (éditions La Découverte), la journaliste et essayiste Marie Kock parle des ces femmes qui décident de vivre seules. Elle y démontre qu’il est parfaitement possible de se construire en dehors des codes traditionnels. Elle-même, à 37 ans, a décidé de “sortir du game”, en décidant de ne pas choisir la vie à deux.

“Sortir du game”

Pourquoi faire ce choix ? “C’était vraiment une espèce de grande fatigue, partagée je crois par pas mal de femmes, cette pression qu’on reçoit entre 30 et 40 ans pour trouver ‘le vrai compagnon’, ‘le bon compagnon’. Une quête qui m’a épuisée”, explique-t-elle. Elle décide alors, au départ pour quelques mois, de ne plus chercher, et de vivre seule. Mais, “j’ai découvert une vie que je trouvais vachement intéressante”. Un podcast de Radio France de 9′.

LNDT: @38. Le Deuil blanc ou l’impuissance devant la maladie neurodégénérative.

C’est un deuil pas comme les autres: celui de voir l’être aimé vaciller et s’éloigner lorsqu’une maladie neurodégénérative survient et malmène le quotidien. Réflexions autour de ce processus particulier, appelé «deuil blanc».

AUTEUR

EXPERTS

Oser en parler

Vivre avec une personne souffrant d’une maladie neurodégénérative est une épreuve lourde et complexe au quotidien. Oser demander de l’aide peut représenter un précieux réconfort. Parmi les portes auxquelles frapper:

  • Proches
  • Médecin traitant
  • Centres spécialisés. À Genève par exemple: Centre ambulatoire de psychiatrie et de psychothérapie de l’âgé (CAPPA) du Service de psychiatrie gériatrique des HUG.
  • Association Alzheimer Suisse: www.alzheimer-schweiz.ch
  • Proche aidant – La Croix-Rouge suisse: www.proche-aidant.redcross.ch
  • Pro Senectute: www.prosenectute.ch

Formule énigmatique, presque douce, le «deuil blanc» porte surtout en lui une douloureuse épreuve: celle d’amorcer le deuil d’une personne qui est là, bien présente, parfois plus qu’elle ne l’a jamais été, mais qui n’est plus la même en raison de la maladie. Le plus souvent, on parle de deuil blanc dans le cadre de la maladie d’Alzheimer, mais d’autres pathologies neurodégénératives, comme les démences séniles, vasculaires ou alcooliques, confrontent les proches au même sombre paradoxe. 

«Le conjoint en particulier fait face à une réalité difficile, car la personne qu’il connaît depuis des années, voire des décennies, n’est plus la même et ne le sera plus, résume le Dr Aimilios Krystallis, médecin au Service de psychiatrie gériatrique des Hôpitaux universitaires de Genève (HUG). Et tandis que certaines facultés mentales s’éteignent progressivement, d’autres subsistent, notamment celles qui sont liées aux dimensions affectives de la personnalité. Composer avec cette perte symbolique est particulièrement rude et s’apparente bel et bien à un processus de deuil.»

Dévotion totale

Un deuil laborieux, ne disant pas forcément son nom, qui cohabite généralement avec un quotidien lui-même éprouvant. «Face à une personne qui perd ses facultés cognitives, ses repères, son autonomie, deux cas de figure se dessinent souvent, poursuit le Dr Krystallis. Certains conjoints basculent dans une dévotion totale, s’occupant de la personne atteinte, comme de l’ensemble des tâches du quotidien, sans rien dire… Et cela peut durer des années, jusqu’au jour où elles craquent. C’est bien souvent à ce moment-là seulement que la famille découvre l’ampleur du problème. D’autres réagissent sur un mode dit de “défense”, rejetant la réalité et tentant de maintenir la même vie que celle que le couple connaissait jusque-là. Mais tôt ou tard, la réalité met à mal ces tentatives et les personnes s’effondrent.» 

Mais existerait-il une «bonne façon» d’affronter cette réalité subie? «Il n’existe bien sûr pas de recette miracle. La souffrance est là et ne peut pas être évitée, mais il est possible de la gérer autrement. Et les pistes sont individuelles autant que sociétales», souligne le Dr Krystallis. Avant de préciser: «L’un des principaux enjeux est de pouvoir parler de ce que l’on vit et d’être accompagné.» Une démarche évidente, mais pas si simple. «D’abord parce que la génération actuelle des personnes âgées a souvent traversé des épreuves terribles, des périodes de guerres par exemple, mais n’a pas été habituée à se confier, encore moins à entreprendre une démarche psychothérapeutique. Alors, elles endurent et souffrent en silence», poursuit le médecin. L’autre frein est très concret, note l’expert: «Les structures d’accueil et les aides à domicile manquent cruellement. Les places en foyer de jour sont rares, le plus souvent non prises en charge par les assurances, et les aides à domicile effectuées par des bénévoles sont quant à elles généralement limitées à une heure ou deux par semaine…» Des perspectives de soulagement modestes donc.

Travail d’acceptation

Et puis, il existe un autre défi, qui se joue sur un plan individuel et intime pour la personne confrontée à ce deuil blanc: un travail mêlant acceptation et prise en compte de ses propres besoins. «Ressentir colère, déception, tristesse ou encore frustration est tout à fait normal, et l’accepter fait partie du processus de ce deuil particulier, poursuit le Dr Krystallis. Il s’agit même d’un passage obligé pour intégrer la situation, l’affronter et se positionner vis-à-vis d’elle. En étant conscient de ce qui se passe, il est davantage possible de comprendre ses réactions, de demander de l’aide et de prendre soin de soi, ne serait-ce que quelques heures par semaine, sans culpabiliser.» 

Une démarche saine et un garde-fou en soi. «Les personnes qui se dévouent nuit et jour à leur conjoint malade s’enferment bien souvent dans une démarche douloureuse, propice à l’épuisement, mais aussi à une violence que l’on pourrait qualifier de “blanche” elle aussi… alerte le Dr Krystallis. Une violence réciproque entre une personne en souffrance ayant perdu son autonomie et une personne valide, mais épuisée.» Et de conclure: «Quand une maladie neurodégénérative survient, c’est le couple lui-même qui est frappé par l’épreuve et a besoin de soutien. Affronter le deuil blanc est donc assurément un défi personnel, intime, familial, mais aussi une question de société pour laquelle beaucoup reste à faire.»

Les nouveaux dossiers thérapeutiques: @35. ANXIÉTÉ: un dossier complet pour petits et grands. (Part-2)

La première partie de ce dossier traitait de l’anxiété chez les enfants. Celle ci aborde l’anxiété chez les adultes.

L’anxiété nous informe d’un danger ou nous invite à l’action lorsque se présente à nous une situation dangereuse. Elle est donc importante pour notre survie car devant une menace, nos sens se mettent en alerte. Les premiers symptômes d’un danger éventuel sont, une production d’adrénaline anormal, une augmentation du débit sanguin ainsi que des battements de coeur. Nous entrons ainsi dans une phase d’alerte, prêt à lutter ou à fuir. C’est là une réactions fortement utile lorsqu’il s’agit de survie. C’est alors une anxiété ordinaire.

Mais l’anxiété est surtout connue pour nous gâcher la vie lorsqu’elle envahie notre quotidien. Une fois libérée, elle peut provoquer dans notre organisme un état d’alerte mental et physique prolongé qui sera extrêmement usant à long terme. Appréhension, irritabilité, crainte constante que des malheurs leur arrivent. Nous sommes nombreux à déjà avoir été dans un état d’anxiété intense et nous cherchons alors à obtenir de l’aide afin de se sentir à nouveau en sécurité dans le monde.

ANXIÉTÉ: Lectures pour mieux l’appréhender.

Une personne souffre de troubles anxieux lorsqu’elle ressent une anxiété forte et durable sans lien avec un danger ou une menace réelle, qui perturbe son fonctionnement normal et ses activités quotidiennes. Voici ce qu’en dit l’INSERM.

Les troubles anxieux constituent une maladie psychique fréquente selon l’assurance maladie. Elle s’exprime sous diverses formes (anxiété généralisée, phobies, trouble panique…) et perturbe fortement la vie quotidienne.

David Servan-Schreiber nous convie à la découverte d’une nouvelle médecine sans médicaments, accessible à tous pour trouver l’harmonie et l’équilibre intérieur en nous mettant à l’écoute de nos émotions. Il nous présente 7 méthodes originales pour devenir pleinement nous-mêmes et vivre mieux, tout simplement.

Si des crises d’angoisse constantes ou des peurs de perte, de séparation, de changement ou autres contrôlent votre vie, vous devez agir. Ce livre présente un moyen de combattre la dépression et d’apprendre à penser positivement grâce à des astuces simples pour un soulagement rapide !

Steve Haines se penche ici sur l’anxiété. Il présente dans son livre les nombreux facteurs considérés comme des causes pouvant accroître l’état d’anxiété, il détaille les différentes manifestations de ce trouble, et présente des pistes d’actions pour ceux qui en souffrent.

ANXIÉTÉ: Des vidéos pour mieux l’appréhender.

POD-CAST DE FRANCE INTER

Ouverture du dispositif de remboursement de séances avec des psychologues.

Même si le dispositif ne concerne pas les psychopraticiens (dont je fais partie), il me semble utile de faire la promotion de cette initiative car les sources d’angoisses sont multiples depuis ces deux dernières années. Les besoins en thérapie risquent donc, dans un futur proche, d’être énormes.

Depuis le 5 avril 2022, le dispositif MonPsy permet aux personnes, dès l’âge de 3 ans (enfants, adolescents et adultes), de bénéficier de séances d’accompagnement psychologique avec une prise en charge par l’Assurance Maladie.

Alors si vous estimez avoir un besoin en thérapie et que vos moyens ne vous le permettent pas, en cliquant ici, vous découvrirez comment à moindre frais, débuter votre thérapie. Même si ce dispositif est attrayant, n’oubliez pas qu’une thérapie est, avant toute chose, une rencontre et une affaire de confiance entre deux personnes.

LNDT: @32. “Conflit Ukrainien: il est important d’aborder le sujet avec ses enfants”

INTERVIEWÉ DÉBUT AVRIL PAR LE QUOTIDIEN “VAUCLUSE MATIN”, au sujet de l’importance d’aborder le sujet de la guerre en Ukraine avec les enfants, vous trouverez ci-dessous l’intégralité de mes réponses.

LE CONFLIT EN UKRAINE, PEUT-IL IMPACTER NOS ENFANTS ?

Il ne faut pas sous-estimer les répercussions, sur nos enfants, des événements qui se produisent dans le monde. Angoissantes pour nous adultes, ces informations le sont aussi pour les enfants. La guerre en Ukraine se rajoute aux actualités anxiogènes de ces dernières années (terrorisme, catastrophes naturelles, crise sanitaire). Votre enfant ou adolescent ne comprend peut-être pas mais peut tout de même être effrayé et se demander si lui ou ses proches sont en sécurité. Sentiment d’insécurité aggravé par la couverture médiatique et l’accès facile aux médias mais qu’il peut aussi ressentir par vos changements d’attitude.

QUELS SONT LES SIGNES QUI PEUVENT ALERTER ?

En tant que parents et dans ce contexte anxiogène, il existe des indices qui peuvent nous alerter: tout d’abord et pour exemple, des sautes d’humeurs inexpliquées, et en fait explicables, car dues justement à l’impact de la guerre en Ukraine, des pertes urinaires inhabituelles, sucer son pouce plus que d’habitude, demander plus de câlins ou bien se mettre en retrait, avoir des problèmes pour s’endormir, une perte de l’appétit…

QUAND LES ENFANTS POSENT DES QUESTIONS, COMMENT RÉAGIR ?

Il est important d’aborder le sujet avec ses enfants. En restant calmes et en les aidant à comprendre leurs réactions et leurs sentiments, les parents participent à rassurer petits et grands. Il s’agit de montrer que vous prenez en compte ses ressentis et ses inquiétudes. Que vous êtes ouverts à la discussion. . Pour digérer ce qu’ils peuvent voir et entendre, ils ont besoin de calme et de votre disponibilité. Ils doivent sentir qu’ils peuvent compter sur vous à tout moment. Aborder le sujet, c’est dire les choses telles qu’elles sont, avec des mots et des images adaptés à leur âge. Nul besoin de grandes explications, au moins en ce qui concerne les plus jeunes. L’idéal est d’attendre leurs questions pour ne pas trop les submerger d’informations. Vérifiez comment votre enfant comprend l’évènement et comment il se sent. Faites en sorte de limiter le temps d’écran bien sûr et aussi d’éviter, devant eux, de parler entre adultes de la guerre.

LNDT: @31. L’alcoolisme au féminin.

L’ALCOOLISME AU FÉMININ
Photo de Matilda Wormwood sur Pexels.com

15% des femmes de moins de 35 ans ont un usage dit “à risque” de l’alcool (30% pour les hommes). Voici donc les résultats qui ont été présentés le 17 mai 2018 lors de la troisième journée nationale de prévention des conduites addictives en milieux professionnels. C’est un pourcentage en augmentation constante. C’est aussi, et surtout, un phénomène qui touche toutes les femmes quel que soit leur milieu social et professionnel. Alors qui sont ses femmes et pourquoi, dans le secret de leur solitude, elles boivent au risque de sombrer peu à peu dans la dépendance ?

L’alcoolisme féminin existe-t-il ?

Par le Dr Claire Lewandowski

L’alcoolodépendance touche 10 % des femmes en France. Penser que la dépendance à l’alcool est différente chez la femme est une erreur. Si un homme peut être considéré comme un bon vivant lorsqu’il consomme de l’alcool en excès, les femmes doivent faire face à un tabou supplémentaire qui les renferme souvent dans la honte. Souvent perçue comme une femme facile, sale ou indécente, de nombreuses injonctions planent sur l’alcoolisme féminin.(la suite ici)

40 ans après, l’image de la femme alcoolique a-t-elle évolué ?

Une fois n’est pas coutume, l’émission de France-Inter, “L’Instant M”, convie une documentariste et un médecin pour évoquer l’alcoolisme au féminin ou plutôt l’épineuse question de sa médiatisation. Comment les médias ont agi pendant si longtemps dans la perpétuation d’un tabou. Comment petit à petit, ils aident à briser le silenceTélévision, presse féminine, réseaux sociaux : comment le regard change, comment les témoignages se partagent. (La suite ici)

La particularité de l’alcoolisme chez la femme.

Entre 20 et 79 ans, environ une femme sur dix déclare consommer de l’alcool tous les jours et environ 4 sur 10, toutes les semaines. Il existe des différences sur le plan social avec les consommateurs excessifs masculins : alors que ces derniers sont plus nombreux dans les classes socioprofessionnelles défavorisées et qu’ils peuvent attaquer l’alcool dès le matin au bar, les femmes concernées occupent volontiers des postes à responsabilités et boivent seule, pour noyer leur stress. (La suite ici)

L’alcoolisme au féminin:7 livres qui brisent le tabou.

Chez la gent féminine, cette addiction s’installe de façon plus insidieuse et se développe discrètement. Piégées dans les abysses de ce liquide ensorcelant, elles préfèrent en effet rester muettes pour ne pas s’attirer les foudres. La société étouffe cette dépendance au féminin. Dans la sphère littéraire, des ouvrages coups de poing renversent les idées reçues et estompent les tabous. Des femmes ont saisi la plume pour partager leur parcours cabossé. (lire la suite ici)

Alcoolisme féminin: des dangers méconnus.

Loin des clichés, les femmes consomment aujourd’hui en France autant d’alcool que les hommes. Les voies vers la dépendance et les risques pour l’organisme sont différents de chez les hommes. Mais ces réalités sont encore peu considérées par les soignants, dénonce le Dr Karila dans un livre.(lire la suite ici)

LNDT: @30. Télétravail, la détresse psychologique assurée ?

Le télétravail a toujours connu en France une progression lente et aléatoire. Mais depuis l’arrivée du COVID et des mesures imposées par le gouvernement français, il est devenu incontournable dans les organisations qui souhaitent pérenniser leur activité économique. Alors, après deux années d’expérimentations forcées, qu’en est-il des incidences sur le travailleur et son entourage? Voici une revue de presse qui vous permettra de jauger des bienfaits et des désagréments de cette nouvelle organisation du travail.

Le télétravail, source d’anxiété et de troubles psychologiques

Avec ce second confinement, le télétravail a de nouveau dû être adopté pour une partie de la population. Certains ne sont pas retournés en présentiel depuis le mois de mars. Près de 5 millions de salariés travaillent à domicile depuis le début de la crise sanitaire, provoquant isolement, solitude, anxiété et troubles psychologiques. Selon une étude, 58% des travailleurs seraient en détresse psychologique. (La suite ici).

Des télétravailleurs vivent mal leur télétravail. Voici pourquoi !

Depuis le début, la plateforme Pros-Consulte, spécialiste du bien-être au travail, reçoit les appels des travailleurs en souffrance, des petites et moyennes entreprises via le numéro vert mis en place par le gouvernement. Pour les soutenir, des conseillers sont là pour les écouter. “Ils ont le droit à trois appels gratuits”, précise Clara*, psychologue du travail du réseau Pros-Consulte, interrogée par Le HuffPost. Elle tient à rappeler que, bien que les personnes qu’elle reçoit au bout du fil n’aillent pas bien, tous les télétravailleurs ne vont pas mal. (Lire la suite ici)

Télétravail, confinement et stress. La santé mentale des salariés se dégrade.

Près d’un salarié sur deux est désormais en détresse psychologique. C’est le résultat à la hausse d’une étude réalisée juste avant le deuxième confinement. Alors qu’une autre étude révèle une forte augmentation des arrêts maladie de longue durée et de ceux liés à des troubles psychosociaux. La peur du Covid-19, d’un avenir incertain et des conditions de vie professionnelles bouleversées ont des conséquences sur la santé mentale des salariés. Deux études très récentes l’affirment, réalisées avant et après le deuxième confinement. (Lire la suite ici)

Télétravail et santé psychologique: les défis de la conciliation, travail, famille, vie personnelle.

Que ce soit pour éviter le trafic aux heures de pointe, lever le pied sur la conciliation travail-famille quelques jours par semaine ou simplement avoir une meilleure qualité de vie, le télétravail était rempli de promesses. À la mi-mars, amené à notre porte sur ordre de la Santé publique, le télétravail a pris d’assaut nos maisonnées, pour le bonheur des uns et le malheur des autres. Cette révolution de nos habitudes de travail et de nos modes relationnels nous a tous bousculés : réorganisation dans un environnement différent, nouvelles méthodes de travail, familiarisation accélérée avec les outils de vidéoconférence, horaire élastique, concentration et gestion des temps de pause. (Lire la suite ici)

Fin du télétravail : “un moment à ne surtout pas rater pour l’entreprise” selon le psychologue Gilles Riou.

Que se passera-t-il pour les salariés, le jour où ils pourront, sans danger, revenir travailler dans l’entreprise ? Gilles Riou est psychologue du travail. Pour lui, le retour en entreprise est un moment crucial à ne pas manquer pour les entreprises comme pour ses salariés, et plus généralement pour la société. (Lire la suite ici)

Mayenne : le télétravail n’a pas eu que des conséquences négatives, selon une psychologue du travail..

C’est la Journée mondiale de la sécurité et de la santé au travail aujourd’hui : cette journée a une résonance particulière, dans ce contexte de crise sanitaire qui dure depuis plus d’un an. Beaucoup de salariés ont dû s’adapter et revoir leur façon de travailler, notamment avec la mise en place du télétravail.  Mais contrairement aux apparences, le travail à distance n’a pas eu que des conséquences négatives sur la santé des salariés, comme l’a remarqué Fanny Letendre, une psychologue du travail, basée à Saint-Berthevin, dans l’agglomération lavalloise. Elle intervient dans toute la Mayenne quand les entreprises font à appel à elle. (Lire la suite ici)