LNDT: @225. Pourquoi les jeunes font moins l’amour ?

Un podcast de Radio France de 3′

Une étude de la société de sondage Ifop commandée par l’entreprise de sex-toys Lelo, met en avant une baisse des activités sexuelles chez les Français. Les 18 à 24 ans sont particulièrement concernés. Ils sont 1 sur 4 à ne pas avoir eu de rapports sexuels l’an dernier, cinq fois plus qu’en 2006.

Avec

  • Tanita Fallet

Noémie, 25 ans, est célibataire. Entre le boulot et les potes, le sexe n’est absolument pas sa priorité. Elle n’a pas eu de rapports depuis plusieurs mois et ça ne la dérange absolument pas. « Je me reconnais dans d’autres manières de s’aimer, comme l’amitié. Avoir une sexualité très active n’est donc pas une priorité, surtout qu’il y a d’autre manière d’avoir une sexualité qu’avec d’autres personnes » , comme la masturbation, explique la jeune active. Pour Hugo, même lorsqu’on est en couple, c’est tout à fait normal de ne pas enchaîner les parties de jambes en l’air :  » c’est absolument pas un devoir. C’est un truc que je fais parce-que j’aime ça. On doit pouvoir décidé d’avoir de la sexualité ou non dans notre couple« .

Selon l’étude, les jeunes ressentent moins d’injonction à faire l’amour qu’avant car la notion de devoir conjugal disparaît des mentalités. Même si cela n’a jamais été inscrit dans la loi, ne pas avoir de rapports sexuels a longtemps été considéré par la société comme une violation grave des obligations du mariage, et plus largement du couple. Cette idée persiste tout de même : la moitié des personnes interrogées par l’Ifop déclare qu’il leur arrive de faire l’amour alors qu’elles n’en ont pas envie. Mais en 1981, cette situation concernait les trois-quarts des femmes.


Le consentement mieux pris en compte

Pour Amandine Ranson, responsable communication pour Lelo, l’entreprise qui a commandé l’étude à l’Ifop, cette évolution s’explique en partie par le mouvement Me Too et la prise en compte plus large du consentement par les jeunes. « Il y a désormais une notion de consentement mutuel. Ce mouvement post Me Too a eu un impact sur les relations sexuelles ». Le rapport met également en avant que les personnes interrogées « admettent de pouvoir continuer avec quelqu’un de manière totalement platonique et l’assument plus » conclue Amandine Ranson. Il y a aussi les personnes qui assument de ne tout simplement pas avoir d’attirance sexuelle envers autrui. Etre asexuel, est désormais considéré comme une orientation sexuelle à part entière.

Le numérique, autre facteur de baisse de la sexualité

Les écrans ont complètement changé le rapport à la sexualité. La sexologue Aurore Malet-Karas explique le phénomène notamment par la pornographie. « On peut échanger virtuellement. Les personnes vont avoir des activités plutôt solitaires. On peut avoir la même récompense en restant chez soi« , détaille la spécialiste. Pour elle, chez les adultes (l’accès à la pornographie peut être dangereux pour les plus jeunes), se détourner des pratiques sexuelles avec autrui n’est pas un problème. Pour la sexologue, il faut simplement se demander « si on en souffre ou pas, si il y a un manque. Ce qui peut être problématique, c’est lorsque ça va bien à un partenaire mais que pour l’autre il y a trop ou pas assez (de sexe)« . Dans cette configuration, elle préconise le dialogue entre les partenaires pour trouver un terrain d’entente.

La clé avec la sexualité, c’est donc pas de pression, beaucoup de communication avec ses partenaires et surtout le respect du consentement mutuel. Et si vous faites partie des gens qui ont des rapports, n’oubliez pas de vous protéger pour éviter les maladies sexuellement transmissibles.

LNDT: @224. Comment on peut « repartir » après une tromperie ?

Un podcast de Radio France de 41′

Et d’ailleurs, faut-il repartir ? Existe-t-il des hommes plus attentionnés que les autres ? Ce mercredi, la lumineuse Amal Tahir répondu à vos questions avec amour.

Avec

  • Muxxa
  • Olivia Animatrice à Mouv’
  • Baro Animateur à Mouv’

Amal Tahir, c’est une Big girl qui influence le monde. C’est une écrivaine, une sexologue, podcasteuse du fabuleux Grace Therapy. Son dernier livre s’appelle Astrosex, paru en janvier 2024 aux éditions Sterling Ethos. Elle est ultra douée pour deviner les énergies qui émanent des personnes autour d’elle, c’est d’ailleurs pourquoi elle a si bien répondu ce mercredi 14 février à vos questions.

LNDT: @223. La nouvelle sexualité des ados, face à la culture pop et aux réseaux sociaux

Un podcast de Radio France de 52′

Comment se forge l’éducation sexuelle des ados, notamment grâce à la culture pop et les réseaux sociaux ? Regarder « Sex Education » en famille est-il une bonne idée ? Les cours d’éducation relationnelle et sexuelle font-ils des ados des accrocs ? Que de questions sur la sexo des ados.

Dès la rentrée prochaine, les élèves des écoles, collèges et lycées auront droit à des cours d’éducation à la vie affective, relationnelle et sexuelle. Une loi arrivant à la rentrée scolaire 2024 a pour objectif pour les 4èmes « de mettre en place et d’examiner les différentes définitions de la sexualité : reproduction, désir d’enfant, plaisir, amour », en 3ème, les élèves devront apprendre à « inscrire la sexualité dans la définition et le respect des droits humains », puis en Terminale, les élèves pourront apprendre à « s’éprouver dans leur sensibilité propre pour se connaître ».

En attendant, les ados apprennent sur le tas, entre camarades et aussi via les réseaux sociaux, plus singulièrement l’application Tik Tok qui fait office de grand éducateur sexuel de la jeunesse. Pour le meilleur et pour le pire, comme le rappelle le magazine We Demain, partenaire de cette émission. Et puis nous nous pencherons aussi sur le rôle de la pornographie, des séries télés comme Sex Education ou Skam, dans leur apprentissage de la sexualité.

Enfin, nous verrons quel est le rôle des parents. Attention, émission pas forcément adaptée aux oreilles des moins de 12 ans.

C’était mieux avant ? Surtout violent, et sans consentement.

Qui des invité.e.s ici ont reçu des cours de sexualité ? À peu près aucun.e, tout du moins au sens auquel on l’entend aujourd’hui. Certain.e.s ont vu un accouchement en gros plan au collège, cette fameuse cassette VHS et sa vidéo traumatisante dont se souviennent nombre de quadras, d’autres ont assisté à une sort de cours ou on enfile un préservatif sur des bananes ou un généreux sexe masculin en plastique. Bref, une sexualité axée sur la reproduction, à une période où le sida est très présent, de fait, mais jamais on ne parle de consentement, de préliminaires dans les années 1990 / 2000. On est dans des questions hygiéniques, techniques, mais certainement pas dans le plaisir ou le soin. Les enseignants, aujourd’hui, sont plus dans une discussion, une approche plus tranquille des sujets, finies la VHS et les bananes.

À lire aussi : ENQUÊTE – Que sont devenus les cours d’éducation sexuelle obligatoires inscrits dans la loi en 2001 ?

Les cours relationnels et sexuels sont une bonne idée, à recaler certes, mais une bonne chose

Que dire de ces nouveaux programmes « attendus, attendus car remis pendant quasiment deux ans » pour la journaliste Armelle Oger, pour qui, il y avait une panique de certains parents voyant arriver ces cours et qui se sont organisés en associations et manifestations. Des cours arrivent donc avec des mots forts pour les CP, CE1 et 5ème, qui « s’ils sont appliqués, peuvent faire bouger les choses« . Pour autant, Camille Aumont Carnel, militante et influenceuse sexo, déplore que le programme des 5ème arrive un peu tardivement dans leur curiosité et leur développement : « La moyenne du visionnage du premier porno c’est neuf ans ! On parle en 5ème de pouvoir nommer, s’exprimer… En fait, c’est trop tard« . Très bonne chose même si un peu tard, car les ados ne restent jamais sans réponse, et vont chercher là où ils peuvent trouver.

Le professeur de philosophie, Thibaud de Saint-Maurice, se réjouit pour sa part du fait que les enseignants vont pouvoir s’emparer du sujet « et sauront s’emparer des programmes, voire sauront intégrer ces programmes pour faire un lien avec de l’historie, de l’économie, etc« . La sexperte Maïa Mazaurette se réjouit également, mais prévient : la sexualité n’est pas une chose figée qui s’apprend et s’borde de la même manière au fil du temps, attention à bien remettre tous ces programmes à jour. Et il doit y avoir un débat, une approche pour les invités qui soulignent que l’enseignement des relations ne doit pas se faire de manière descendante, comme une leçon technique, mais doit rester un échange, un moment pou répondre à des questions, des incompréhensions.

À écouter aussi : « Ce sont les femmes qui payent l’addition » du manque d’informations sur la sexualité, estime Israël Nisand

L’invité de 8h20 : le grand entretienÉCOUTER PLUS TARD

25 min

Qu’en disent et que font nos voisins francophones ? En Belgique, il y a longtemps que l’invitation à organiser des discussions est en place, elle devient aussi obligatoire à la rentrée 2024. Des fonds ont donc été débloqués pour former les personnes de terrain qui font les animations. Alexandra Hubin, enseignante bruxelloise, déplore aussi que ces cours arrivent tard, à un âge où les experts ont jugé que le moment était charnière, car il fallait bien trancher, hors cette Éducation à la Vie Relationnelle, Affective et Sexuelle (EVRAS) est malheureusement un peu décorrélée de la découverte d’une certaine sexualité via le smartphone, en général dans les mains des enfants bien avant la 5ème, dès le CM2.

Parler sexualité avec ses parents ou son enfant est un choc de l’intime, donc merci l’école et ses cours

La parole et l’information sont certes de plus en plus présentes dans nos sociétés modernes, pour autant, une étude montre pour autant qu’à peine 15 % de parents parlent de sexualité avec leurs enfants, à part « si tu couches, protège-toi » ; les questions restent donc en suspens la plupart du temps. Et ce n’est par ailleurs pas forcément un sujet qu’on a envie d’aborder avec ses parents. Il y a aussi pour le professeur « un choc de l’intime« , entre une intimité parentale avancée, qu’on souhaite épanouie, et l’autre en construction chez l’enfant ou l’ado : « pas certain qu’il faille que ces deux intimités soient perméables, bien sûr il faut communiquer, mais aussi une forme de respect de l’intimité« . Il est donc intéressant et positif que cette discussion puisse aussi se passer aussi à l’école, hors du cercle familial.

À écouter aussi : Éducation à la sexualité : quel est le programme ?

La Question du jourÉCOUTER PLUS TARD

7 min

L’enseignement relationnel et sexuel protège les enfants, contrairement aux rumeurs.

La France et la Belgique ont vu arriver une déferlante de désinformation sur ces cours, « c’est la panique de parents, mais face à cette panique il faut s’organiser« . Camille Aumont Carnel dénonce la rumeur affirmant que « parler de sexualité, de consentement ou de pornographie à des ados ou des jeunes les inciterait« , hors c’est tout le contraire : ça les prépare et les éloigne du porno, car des réponses ont été trouvées, ou à peu près. Dès les débuts de la création de son compte Instagram, il y a 6 ans, de nombreux ados sont venus, ils viennent chercher des réponses à des questions, pas des images.

Maia Mazaurette ajoute : « Ce qui se joue aussi est la construction de l’enfant comme personne innocente (…) Il faut dire à ces parents-là qu’en voulant préserver à tout prix l’innocence de leurs enfants, il est bien possible qu’ils les mettent en danger, parce que ce qui est enseigné à l’école est aussi de pouvoir dire non. Paradoxalement, si vous voulez que votre enfant reste innocent, il faut le laisser assister aux cours de sexualité.« 

La série Sex Education est-elle une bonne manière d’appréhender la sexualité chez ou avec les ados ? Comment en discuter (un peu) en famille, comment voir les signes de questionnements ? Que penser des sexologues sur TikTok ?
La suite et les réponses sont à écouter…

Invitée.e.s pour parler de sexe aux ados :

  • Armelle Oger est journaliste et conseillère éditoriale au magazine We-demain. Elle a travaillé dans de nombreux quotidiens et hebdomadaires comme reporter et a dirigé la rédaction de plusieurs magazines féminins. Également autrice et essayiste. Notamment de “C’était comme ça en France… dans les années 80” (Grund, 2014).
  • Camille Aumont Carnel est une militante féministe, autrice, entrepreneuse, influenceuse. Avec son compte et média @jemenbatsleclito. Autrice de “#Adosexo” chez Albin Michel Jeunesse en 2022 et “Être raciste c’est quoi ?” (Alt, 2024)
  • Thibaut de Saint Maurice est professeur de philosophie. Auteur de “Des philosophes et des héros” (First, 2019)
  • Alexandra Hubin est docteure en Psychologie et sexothérapeute à Bruxelles. Enseignante. Fondatrice de SexoPositive, une plateforme s’attachant à la transmission de connaissances et de compétences en matière de santé sexuelle. Également chroniqueuse (RTBF, France 2). Autrice de “Confidences d’un organe mystérieux : Clitoris, la vérité mise à nu” (Eyrolles, 2021)
  • Maia Mazaurette est sexperte, autrice et chroniqueuse, spécialisée dans les questions de sexualité. Autrice de La Vulve, la Verge et le Vibro (Points Féministe, 2022)

LNDT: @222. Psycho : faire durer son couple

Un podcast de Radio France de 29′

Un couple, ça se cultive.

Un couple, c’est comme un jardin : ça s’entretient, ça se cultive, ça évolue… Et vous, comment faites-vous durer votre couple ? Conseils de Sylvie Sampol, psychologue.

LNDT: @221. La vie de couple face à la mobilité avec Diana Odon Baylac

Un podcast de Radio France de 27′

Une histoire d’amour peut-elle fonctionner lorsque les kilomètres séparent l’un et l’autre, régulièrement. C’est une situation de plus en plus fréquente, comment faire face à une telle situation, est-ce viable sur du long terme, c’est le sujet de ce magazine.

Diana Odon Baylac est Psychothérapeute de couple à Bordeaux, elle vous informe sur l’amour face à la mobilité géographique. C’est une organisation à mettre en place, pour le couple, et pour les enfants. Les repères changent et s’inventent face à la séparation, pour que la notion de famille puisse continuer à exister.

LNDT: @219. Le Pervers narcissique avec Diana Odon Baylac de Bordeaux

Un podcast de Radio France de 29′

Ce magazine vous veut du bien, c’est pour cette raison que nous abordons le sujet du pervers narcissique. Ce type de personnalité représente 3 pour cent dans la population selon Diana Odon Baylac, Psychologue et Thérapeute du couple.

La difficulté pour se dégager de l’emprise d’un pervers narcissique vient du fait, que la victime veut parfois protéger son bourreau, tant elle est persuadée qu’elle est responsable de tout.  Dans ce magazine, vous allez être éclairé sur les directions à prendre, pour vous en protéger. En famille, au travail, ou dans vos relations amicales, vous pouvez être face à lui ou elle, car les femmes peuvent aussi être dans ce comportement toxique. Sortir de l’emprise, être aider, gérer l’après, se réparer et se reconstruire, notez ce livre : La violence morale au quotidien  de Chantal Paoli-Texier, Association AJC (contre la violence morale).  Un livre essentiel avec des solutions concrètes et le soutien d’une association pour sortir de l’emprise de la violence morale.  Ce site aussi, dédié au pervers narcissique. Et puis, ce film signé Maïwen avec Vincent Cassel dans le rôle du pervers narcissique « Mon roi », Emmanuelle Bercot dans l’interprétation de la victime.

LNDT: @218. Diana Odon-Baylac, psychologue du couple

Un podcast de Radio France de 39′

Comment vivez vous votre couple ? De quoi avez vous besoin ? Est ce que tout va bien ? Votre experte Diana Odon-Baylac, psychologue du couple, vous éclaire dans cette émission où vous réagissez comme tous les jours.

Le couple avec ses expériences, ses fragilités, ses forces, ses pièges et ses libertés : Libre de penser, libre d’aimer, ou dans le mouvement. Votre experte Diana Odon-Baylac, psychologue du couple, vous aide aussi à surmonter les moments difficiles dans votre couple.

LNDT: @217. Sophie Tressy, psychanalyste de couple

Un podcast de Radio France de 6′

Sur fond d’affaire Daval, (ce mari qui a reconnu avoir tué son épouse), la psychanalyste Sophie Tressy décortique la violence qui peut s’installer dans le couple. Elle travaille à l’Association Française des Centres de Consultation Conjugale.

LNDT: @216. Mon Psy & Moi=> Couple: Est-ce que vraiment « Qui se ressemble s’assemble »?

Un podcast de Radio France de 3′

C’est une « croyance populaire », une de ces petites phrases qui bien souvent font partie de ce qui nous a construit: « Qui se ressemble s’assemble »! « Oui, c’est vrai, mais… » nous dit ici notre psy Serge Sommer

Oui, qui se ressemble s’assemble. Avec nos amis, qui nous font miroir; Sur facebook, où on se retrouve « entre amis » par exemple 🙂

Et l’inverse est vrai aussi: Qui se rassemble, passe beaucoup de temps ensemble, finit par se ressembler! 

Mais est-ce une bonne chose de se fier à cette petite « croyance populaire »?  Marie a un gros problème bien lourd depuis l’enfance, va-t-elle pour autant devoir rencontrer des amis, un amoureux qui eux aussi traînent un gros problème? 

Mais non, nous répond ici Serge Sommer, psychanalyste à Livron.

Un éclairage passionnant!

LNDT: @215. Divorce et séparation, les deux parents sont importants

Un podcast de Radio France de 34′

avec Xavier d’Hellencourt avocat à Amiens et Didier Quiertant de l’association SOS papa

L’autorité parentale est conservée quelque soit le mode de garde, sauf exception.

le site de SOS papa Nord-Picardie

les permanences de SOS Papa en Picardie :

Nord Pas-de-Calais Picardie:

AMIENS : à partir de 10 heures 30, Auberge de Jeunesse 30 Square Friant les 4 Chênes le 1er samedi du mois (sur inscription au).
ROYE : à partie de 10 heures, Centre socio-culturel Léo-Lagrange, 34 rue des Granges, les samedis 14 décembre, 25 janvier, 14 mars, 4 avril, 23 mai, 27 juin (uniquement sur rendez-vous)

COMPIEGNE: à partir de 20 heures, Espace du Puy du Roy, 5bis rue Charles Faroux, le 2ème vendredi du mois (sur inscription au 06 67 73 52 49).

BEAUVAIS: à partir de 19 heures, espace Pré Martinet, 17 rue Pré Martinet le 3ème jeudi du mois (sur inscription au 06 67 73 52 49).